Pierre Delanoë est un parolier français, auteur de quelque 4 000 chansons. De son véritable nom Pierre Charles Napoléon Leroyer. Il dépose en 1948 sa première chanson à la Sacem, dont il sera trois fois président du conseil d'administration. En 1953, Gilbert Bécaud et Delanoë composent ensemble Mes mains. Delanoë devient le parolier attitré de Bécaud, pour qui il compose Le Jour où la pluie viendra (1957), Nathalie (1964), L'Orange (1964), Et maintenant (1961), La Solitude ça n'existe pas (1970)... De 1955 à 1960, il occupe avec Lucien Morisse le poste de directeur de la programmation de la station radiophonique Europe no 1 ; le titre d'une de ses chansons pour Bécaud, Salut les copains (1957), deviendra le nom d'une célèbre émission de radio sur cette antenne. Il sait prendre le virage yé-yé, adaptant des chansons américaines pour Petula Clark (Hello Dolly, 1964), Nancy Holloway (T'en vas pas comme ça, 1963), en écrivant pour France Gall (Ne sois pas si bête, 1964), en adaptant Bob Dylan pour Hugues Aufray, dans l'album Aufray chante Dylan (1965). Il écrit pour Michel Delpech (Inventaire 66, 1966), Joe Dassin (Les Champs-Élysées, 1969), Gérard Lenorman (La Ballade des gens heureux, 1975), Michel Sardou (Le France, 1975 ; La Java de Broadway, 1977). Delanoë a écrit, avec Louis Amade, les paroles de L'Opéra d'Aran de Gilbert Bécaud, sur un livret de Jacques Emmanuel (1962)

Didier Barbelivien est un auteur, compositeur et interprète français né le 10 mars 1954 à Paris. Dans son enfance, Didier Barbelivien veut devenir chef d'orchestre. Après avoir échoué à l'entrée du Conservatoire, il commence à écrire des chansons et connaît ses premiers succès dans les années 1970, en composant pour les plus grandes vedettes du show-business, tels Johnny Hallyday, Claude François, Michel Sardou, Sylvie Vartan et Gérard Lenorman.

Dans les années 1980, Didier Barbelivien interprète ses propres textes, chantant seul ou en duo avec Félix Gray. Mais il n'en continue pas moins à écrire, pour d'autres interprètes : il signe ainsi Mademoiselle chante le blues, Mon mec à moi, On va s'aimer ou Je te survivrai. Avec Vendée 93, spectacle musical composé en 1993, puis Les Enfants du soleil en 2004, Didier Barbelivien offre des chansons historiques qui gagnent la faveur du public. L'année 2007 marque un tournant pour le chanteur, puisque c'est la première fois qu'il se produit sur scène.Le 1er janvier 2009, lors de la traditionnelle cérémonie officielle du Nouvel An, Didier Barbelivien est promu chevalier de la Légion d'honneur.

Enrico Macias, de son vrai nom Gaston Ghre­nas­sia, est né dans la ville de Cons­tan­tine, en Algé­rie, le 11 décembre 1938. Son père étant violo­niste, il baigne dès sa plus tendre enfance dans un univers musi­cal. Il apprend la guitare avec des gitans qui vont lui attri­buer le surnom d’En­rico. Quant à Macias, il s’agit d’un hommage au boxeur Raul Macias. Après avoir été insti­tu­teur durant un temps, il intègre l’or­chestre de Cheikh Raymond.

En 1961, alors que la guerre d’Al­gé­rie fait encore rage, Enrico Macias et sa famille rejoignent la France et s’ins­tallent à Paris. Ses débuts dans la musique sont un peu diffi­ciles, mais alors qu’il chante sur la scène de petits caba­rets, il est fina­le­ment repéré. En 1962, sa carrière prend son essor grâce à une première partie de Gilbert Bécaud et à un passage à la télé­vi­sion dans l’émis­sion « Cinq colonnes à la une ». Son premier album, « Enfants de tous pays », sort en 1963. C’est le début d’une grande carrière marquée par de nombreux succès, comme les chan­sons « Adieu mon pays » ou « Les filles de mon pays ».

Michel Leclerc fait ses études au Conservatoire de Rouen puis au CNSM de Paris (Premier Prix de piano, d'orgue et de composition entre autres). Il donne ses premiers concerts d’orgue et de piano dès l’adolescence. Albert Lévêque, Olivier Messiaen, Claude Kahn et Louis Thiry, pour ne citer qu’eux, sont autant de rencontres qui influenceront son parcours. Durant plusieurs années, il donne de nombreux concerts d’orgue et de piano, tant en soliste qu’en accompagnement d’un orchestre. Directeur d’une école de musique et chef de choeur de tous styles et tous horizons. En 1989, il obtient le Prix de la Meilleure Musique décerné par la mission du "Bicentenaire de la Révolution" avec avec la comédie musicale "Les Clefs de la Liberté".

De 2001 à 2005, Michel Leclerc a été le Directeur Artistique chargé du département "Variétés-Jazz" des Editions Henry Lemoine (Paris). Il est membre de la SACEM, de la SACD et de l'ADAMI. En 2007, il a créé sa propre société de production : MILDO Productions.

 

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Éditeur: Les Éditions Marouani (tous droits réservés), avec l'aimable autorisation de Warner Chappell Music France, et Alliance des Chorales du Québec

Référence: EA-198
Formation: SATB-Piano
Paroles: Pierre Delanoë et Didier Barbeliven
Musique: Enrico Macias et Henri Rierat
Harmonisation: Michel Leclerc
Nombre de pages: 11

Pierre Delanoë est un parolier français, auteur de quelque 4 000 chansons. De son véritable nom Pierre Charles Napoléon Leroyer. Il dépose en 1948 sa première chanson à la Sacem, dont il sera trois fois président du conseil d'administration. En 1953, Gilbert Bécaud et Delanoë composent ensemble Mes mains. Delanoë devient le parolier attitré de Bécaud, pour qui il compose Le Jour où la pluie viendra (1957), Nathalie (1964), L'Orange (1964), Et maintenant (1961), La Solitude ça n'existe pas (1970)... De 1955 à 1960, il occupe avec Lucien Morisse le poste de directeur de la programmation de la station radiophonique Europe no 1 ; le titre d'une de ses chansons pour Bécaud, Salut les copains (1957), deviendra le nom d'une célèbre émission de radio sur cette antenne. Il sait prendre le virage yé-yé, adaptant des chansons américaines pour Petula Clark (Hello Dolly, 1964), Nancy Holloway (T'en vas pas comme ça, 1963), en écrivant pour France Gall (Ne sois pas si bête, 1964), en adaptant Bob Dylan pour Hugues Aufray, dans l'album Aufray chante Dylan (1965). Il écrit pour Michel Delpech (Inventaire 66, 1966), Joe Dassin (Les Champs-Élysées, 1969), Gérard Lenorman (La Ballade des gens heureux, 1975), Michel Sardou (Le France, 1975 ; La Java de Broadway, 1977). Delanoë a écrit, avec Louis Amade, les paroles de L'Opéra d'Aran de Gilbert Bécaud, sur un livret de Jacques Emmanuel (1962)

Didier Barbelivien est un auteur, compositeur et interprète français né le 10 mars 1954 à Paris. Dans son enfance, Didier Barbelivien veut devenir chef d'orchestre. Après avoir échoué à l'entrée du Conservatoire, il commence à écrire des chansons et connaît ses premiers succès dans les années 1970, en composant pour les plus grandes vedettes du show-business, tels Johnny Hallyday, Claude François, Michel Sardou, Sylvie Vartan et Gérard Lenorman.

Dans les années 1980, Didier Barbelivien interprète ses propres textes, chantant seul ou en duo avec Félix Gray. Mais il n'en continue pas moins à écrire, pour d'autres interprètes : il signe ainsi Mademoiselle chante le blues, Mon mec à moi, On va s'aimer ou Je te survivrai. Avec Vendée 93, spectacle musical composé en 1993, puis Les Enfants du soleil en 2004, Didier Barbelivien offre des chansons historiques qui gagnent la faveur du public. L'année 2007 marque un tournant pour le chanteur, puisque c'est la première fois qu'il se produit sur scène.Le 1er janvier 2009, lors de la traditionnelle cérémonie officielle du Nouvel An, Didier Barbelivien est promu chevalier de la Légion d'honneur.

Enrico Macias, de son vrai nom Gaston Ghre­nas­sia, est né dans la ville de Cons­tan­tine, en Algé­rie, le 11 décembre 1938. Son père étant violo­niste, il baigne dès sa plus tendre enfance dans un univers musi­cal. Il apprend la guitare avec des gitans qui vont lui attri­buer le surnom d’En­rico. Quant à Macias, il s’agit d’un hommage au boxeur Raul Macias. Après avoir été insti­tu­teur durant un temps, il intègre l’or­chestre de Cheikh Raymond.

En 1961, alors que la guerre d’Al­gé­rie fait encore rage, Enrico Macias et sa famille rejoignent la France et s’ins­tallent à Paris. Ses débuts dans la musique sont un peu diffi­ciles, mais alors qu’il chante sur la scène de petits caba­rets, il est fina­le­ment repéré. En 1962, sa carrière prend son essor grâce à une première partie de Gilbert Bécaud et à un passage à la télé­vi­sion dans l’émis­sion « Cinq colonnes à la une ». Son premier album, « Enfants de tous pays », sort en 1963. C’est le début d’une grande carrière marquée par de nombreux succès, comme les chan­sons « Adieu mon pays » ou « Les filles de mon pays ».

Michel Leclerc fait ses études au Conservatoire de Rouen puis au CNSM de Paris (Premier Prix de piano, d'orgue et de composition entre autres). Il donne ses premiers concerts d’orgue et de piano dès l’adolescence. Albert Lévêque, Olivier Messiaen, Claude Kahn et Louis Thiry, pour ne citer qu’eux, sont autant de rencontres qui influenceront son parcours. Durant plusieurs années, il donne de nombreux concerts d’orgue et de piano, tant en soliste qu’en accompagnement d’un orchestre. Directeur d’une école de musique et chef de choeur de tous styles et tous horizons. En 1989, il obtient le Prix de la Meilleure Musique décerné par la mission du "Bicentenaire de la Révolution" avec avec la comédie musicale "Les Clefs de la Liberté".

De 2001 à 2005, Michel Leclerc a été le Directeur Artistique chargé du département "Variétés-Jazz" des Editions Henry Lemoine (Paris). Il est membre de la SACEM, de la SACD et de l'ADAMI. En 2007, il a créé sa propre société de production : MILDO Productions.

 

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Éditeur: Les Éditions Marouani (tous droits réservés), avec l'aimable autorisation de Warner Chappell Music France, et Alliance des Chorales du Québec

Référence: EA-198
Formation: SATB-Piano
Paroles: Pierre Delanoë et Didier Barbeliven
Musique: Enrico Macias et Henri Rierat
Harmonisation: Michel Leclerc
Nombre de pages: 11