The Blue Bird est la troisième chanson issue des Eight Part-Songs, op. 119 du compositeur Charles V. Stanford. Elle a été composée sur un poème de Mary Elizabeth Coleridge et fut publiée pour la première fois en 1910.

L'œuvre est conçue pour chœur mixte à cinq voix a cappella. La présente partition inclut toutefois une réduction pour piano destinée à être utilisée en répétition.

Mary Elizabeth Coleridge (1861-1907) était une écrivaine et poétesse britannique. Davantage reconnue pour ses talents de romancière et d'essayiste de son vivant, elle est aujourd'hui surtout connue pour ses poèmes. 

Charles Villiers Stanford (1852-1924) était un compositeur d'origine irlandaise qui, avec Hubert Parry et surtout Edward Elgar, fut l'un des compositeurs emblématiques de la période victorienne. Il composa de nombreuses œuvres orchestrales et concertantes en plus de rhapsodies irlandaises et d'opéras, mais il est plus particulièrement connu de nos jours pour ses œuvres chorales. On peut citer deux oratorios, un requiem (1897), un Stabat Mater (1907) mais aussi des œuvres profanes plus courtes telles The Revenge (1886), The Voyage of Maeldune (1889), Songs of the Sea (1904) et Songs of the Fleet (1910).

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The Blue Bird est la troisième chanson issue des Eight Part-Songs, op. 119 du compositeur Charles V. Stanford. Elle a été composée sur un poème de Mary Elizabeth Coleridge et fut publiée pour la première fois en 1910.

L'œuvre est conçue pour chœur mixte à cinq voix a cappella. La présente partition inclut toutefois une réduction pour piano destinée à être utilisée en répétition.

Mary Elizabeth Coleridge (1861-1907) était une écrivaine et poétesse britannique. Davantage reconnue pour ses talents de romancière et d'essayiste de son vivant, elle est aujourd'hui surtout connue pour ses poèmes. 

Charles Villiers Stanford (1852-1924) était un compositeur d'origine irlandaise qui, avec Hubert Parry et surtout Edward Elgar, fut l'un des compositeurs emblématiques de la période victorienne. Il composa de nombreuses œuvres orchestrales et concertantes en plus de rhapsodies irlandaises et d'opéras, mais il est plus particulièrement connu de nos jours pour ses œuvres chorales. On peut citer deux oratorios, un requiem (1897), un Stabat Mater (1907) mais aussi des œuvres profanes plus courtes telles The Revenge (1886), The Voyage of Maeldune (1889), Songs of the Sea (1904) et Songs of the Fleet (1910).

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